Maya Corman est psychologue et docteure en psychologie de la santé à l’Université Clermont-Auvergne (UCA) et au Laboratoire de Psychologie Sociale et Cognitive (LAPSCO) en France. Elle s'intéresse à l'expérience et au vécu des personnes impliquées dans une relation de soin (soignants comme soignés) et notamment dans l'accompagnement de fin de vie. Elle est en charge de la coordination de l'étude et réalise les entretiens.

 

Isabelle Marcoux détient un doctorat en psychologie communautaire et a complété deux stages postdoctoraux en médecine sociale préventive et en sciences humaines et sociales associées à la cancérologie. Elle est professeure agrégée à la faculté des sciences de la santé à l'Université d'Ottawa. Ses travaux et ses intérêts de recherche portent autre autres sur l'aide médicale à mourir, l'éthique, les pratiques en fin de vie et l'accès en soins palliatifs et aide médicale à mourir. Elle est porteuse de ce projet au Québec.

 

Émilie Allard détient un doctorat en sciences infirmières et est Professeure adjointe à la Faculté des sciences infirmières à l'Université de Montréal depuis 2019.   Ses travaux et intérêts de recherche portent sur les soins palliatifs et de fin de vi, le deuil, les personnes proches aidants et la formation interdisciplinaire. Elle est co-chercheure de ce projet au Québec.

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Serge Daneault est médecin et Professeur agrégé à la Faculté de Médecine de l’Université de Montréal; Chercheur au CIUSSS du Centre-Sud de l’Île de Montréal.  Il est co-chercheur de ce projet au Québec.

 

Michael Dambrun est Professeur des Universités à l’Université Clermont-Auvergne et chercheur au Laboratoire de Psychologie Sociale et Cognitive (LAPSCO) en France. Ses intérêts portent sur les soins palliatifs et laméditation de pleine conscience.  Il est porteur du projet en France.

 

Katell MENARD est Médecin généraliste, titulaire de la Capacité d’Evaluation et Traitement de la Douleur et d'un Diplôme Inter Universitaire en Médecine Palliative. Elle est enseignante du programme de méditation de pleine conscience (MBCT). Ses intérêts portent sur l'accompagnement de fin de vie et la prise en charge de la douleur. Elle est co-chercheure de ce projet en France.